AlterMachine est un bureau d’accompagnement de projets artistiques fondé en janvier 2014 par Camille Hakim Hashemi, Elisabeth Le Coënt et Carole Willemot.
AlterMachine travaille avec la compagnie Viande Hachée du Caire et Laetitia Dosch en administration, production, communication, relations presse depuis 2015.
http://altermachine.fr
Jonathan Capdevielle _ comédien/dramaturge
Formé à l’École supérieure Nationale des arts de la marionnette, Jonathan Capdevielle est un artiste hors norme, acteur, marionnettiste, ventriloque, danseur, chanteur.
Il a participé à plusieurs créations, dont, entres autres : Personnage à réactiver, de Pierre Joseph (1994), Performance, avec Claude Wampler (1999), Mickey la Torche, de Natacha de Pontcharra, mise en scène Lotfi Achour (2000), Les Parieurs et Blonde Unfuckingbelievable Blond, mise en scène Marielle Pinsard (2002), Le Golem, mise en scène David Girondin Moab (2004), Le groupe St Augustin, Le Dispariteur, Monsieur Villovitch, Hamlet et Marseille Massacre, mises en scène d’Yves-Noël Genod (2004-2010), Bodies in the cellar, mise en scène de Vincent Thomasset (Mars 2013).
Collaborateur de Gisèle Vienne depuis ses débuts, il est interprète dans presque toutes ses pièces : Splendid’s de Jean Genet, Showroomdummies et Stéréotypie, et dans celles mises en scène par Gisèle Vienne I Apologize, Une belle enfant blonde / A young, beautiful blonde girl, Kindertotenlieder, Jerk, Éternelle idole, This is how you will disappear (2010) et The Ventriloquists Convention (2015).
Il crée en 2007 la performance-tour de chant Jonathan Covering au Festival Tanz im august à Berlin, point de départ de sa pièce Adishatz/Adieu, créée en janvier 2010 au festival C’est de la Danse Contemporaine du Centre de Développement Chorégraphique Toulouse / Midi Pyrénées. Il répond ensuite à deux invitations. En 2011, il présente Popydog, créé en collaboration avec Marlène Saldana au Centre National de la Danse – Pantin et en 2012, sur une proposition du festival far° - festival des arts vivants de Nyon (Suisse), il propose Spring Rolle, un projet in situ avec Jean-Luc Verna et Marlène Saldana.
Jonathan Capdevielle crée sa deuxième pièce, Saga, en février 2015 au Parvis, scène nationale de Tarbes.
Il est artiste associé au Quai / Centre Dramatique National d’Angers – Pays de la Loire.
Au cinéma, il interprète le rôle de Nicolas dans le film Boys like us, réalisé par Patrick Chiha (2014).
Emanuele Coccia _ philosophe et maître de conférences à l'EHSS
Il né en 1976, est un philosophe d'origine italienne, maître de conférences à l'École
des hautes études en sciences sociales, depuis 2011.
Docteur en philosophie médiévale de l'Università degli Studi de Florence, Emanuele Coccia enseigne entre 2008 et 2011, à l'université de Fribourg-en-Brisgau, en Allemagne. Il est professeur invité à l'université de Tokyo (Todai) en 2009, à l'université de Buenos Aires en 2010, à l'université Heinrich Heine de Düsseldorf en 2013 et en 2015/2016, il enseigne à l'Italian Academy for Advanced Studies de l'université Columbia de New York.
Il consacre ses premières recherches à l'étude de la philosophie médiévale. Son premier ouvrage porte sur la doctrine de l'intellect de l'averroïsme latin. Il publie ensuite, avec Giorgio Agamben, une anthologie sur les anges dans le judaïsme, le christianisme et l’islam, qui montre pour la première fois que la théologie des anges a été une source importante pour la réflexion sur le pouvoir en Europe.
Ses recherches évoluent ensuite vers la théorie de l'image et la nature du vivant. En 2010, il publie La vie sensible qui est saluée par Roger-Pol Droit dans Le Monde comme un aérolithe philosophique qui propose un voyage très insolite.
En 2016, il participe à l'ouvrage collectif Adam, la nature humaine, avant et après Épistémologie de la Chute sous la direction d'Irène Rosier-Catach et Gianluca Briguglia (Éditions de la Sorbonne).
En 2017, l'ouvrage La vie des plantes reçoit le Prix des Rencontres philosophiques de Monaco et il est traduit en 10 langues. L'ouvrage est également salué par la presse.
En 2019, il est conseiller scientifique de l'exposition Nous les arbres à la Fondation Cartier pour l'art contemporain.
Emanuele Coccia _ philosophe et maître de conférences à l'EHSS
Il né en 1976, est un philosophe d'origine italienne, maître de conférences à l'École
des hautes études en sciences sociales, depuis 2011.
Docteur en philosophie médiévale de l'Università degli Studi de Florence, Emanuele Coccia enseigne entre 2008 et 2011, à l'université de Fribourg-en-Brisgau, en Allemagne. Il est professeur invité à l'université de Tokyo (Todai) en 2009, à l'université de Buenos Aires en 2010, à l'université Heinrich Heine de Düsseldorf en 2013 et en 2015/2016, il enseigne à l'Italian Academy for Advanced Studies de l'université Columbia de New York.
Il consacre ses premières recherches à l'étude de la philosophie médiévale. Son premier ouvrage porte sur la doctrine de l'intellect de l'averroïsme latin. Il publie ensuite, avec Giorgio Agamben, une anthologie sur les anges dans le judaïsme, le christianisme et l’islam, qui montre pour la première fois que la théologie des anges a été une source importante pour la réflexion sur le pouvoir en Europe.
Ses recherches évoluent ensuite vers la théorie de l'image et la nature du vivant. En 2010, il publie La vie sensible qui est saluée par Roger-Pol Droit dans Le Monde comme un aérolithe philosophique qui propose un voyage très insolite.
En 2016, il participe à l'ouvrage collectif Adam, la nature humaine, avant et après Épistémologie de la Chute sous la direction d'Irène Rosier-Catach et Gianluca Briguglia (Éditions de la Sorbonne).
En 2017, l'ouvrage La vie des plantes reçoit le Prix des Rencontres philosophiques de Monaco et il est traduit en 10 langues. L'ouvrage est également salué par la presse.
En 2019, il est conseiller scientifique de l'exposition Nous les arbres à la Fondation Cartier pour l'art contemporain.
Emanuele Coccia, né en 1976, est un philosophe d'origine italienne, maître de conférences à l'École
des hautes études en sciences sociales, depuis 2011.
Docteur
en
philosophie
médiévale
de
l'Università
degli
Studi
de
Florence,
Emanuele
Coccia
en-
seigne
entre
2008
et
2011,
à l'université
de Fribourg-en-Brisgau,
en
Allemagne.
Il
est professeur
invité à l'université de Tokyo (Todai) en 2009, à l'université de Buenos Aires en 2010, à l'université
Heinrich Heine de Düsseldorf en 2013 et en 2015/2016, il enseigne à l'Italian Academy for Advanced
Studies de l'université Columbia de New York.
Il consacre ses premières recherches à l'étude de la philosophie médiévale. Son premier ouvrage
porte sur la doctrine de l'intellect de l'averroïsme latin. Il publie ensuite, avec Giorgio Agamben, une
anthologie sur les anges dans le judaïsme, le christianisme et l’islam, qui montre pour la première
fois
que
la
théologie
des
anges
a
été
une
source
importante
pour
la
réflexion
sur
le
pouvoir
en
Europe.
Ses recherches évoluent ensuite vers la théorie de l'image et la nature du vivant. En 2010, il publie
La vie sensible qui est saluée par Roger-Pol Droit dans Le Monde comme un aérolithe philosophique
qui propose un voyage très insolite.
En 2016, il participe à l'ouvrage collectif Adam, la nature humaine, avant et après - Épistémologie
de la Chute sous la direction d'Irène Rosier-Catach et Gianluca Briguglia (Éditions de la Sorbonne).
En 2017, l'ouvrage La vie des plantes reçoit le Prix des Rencontres philosophiques de Monaco et il
est traduit en 10 langues. L'ouvrage est également salué par la presse.
En 2019, il est conseiller scientifique de l'exposition Nous les arbres à la Fondation Cartier pour l'art
contemporai
Emanuele Coccia, né en 1976, est un philosophe d'origine italienne, maître de conférences à l'École
des hautes études en sciences sociales, depuis 2011.
Docteur
en
philosophie
médiévale
de
l'Università
degli
Studi
de
Florence,
Emanuele
Coccia
en-
seigne
entre
2008
et
2011,
à l'université
de Fribourg-en-Brisgau,
en
Allemagne.
Il
est professeur
invité à l'université de Tokyo (Todai) en 2009, à l'université de Buenos Aires en 2010, à l'université
Heinrich Heine de Düsseldorf en 2013 et en 2015/2016, il enseigne à l'Italian Academy for Advanced
Studies de l'université Columbia de New York.
Il consacre ses premières recherches à l'étude de la philosophie médiévale. Son premier ouvrage
porte sur la doctrine de l'intellect de l'averroïsme latin. Il publie ensuite, avec Giorgio Agamben, une
anthologie sur les anges dans le judaïsme, le christianisme et l’islam, qui montre pour la première
fois
que
la
théologie
des
anges
a
été
une
source
importante
pour
la
réflexion
sur
le
pouvoir
en
Europe.
Ses recherches évoluent ensuite vers la théorie de l'image et la nature du vivant. En 2010, il publie
La vie sensible qui est saluée par Roger-Pol Droit dans Le Monde comme un aérolithe philosophique
qui propose un voyage très insolite.
En 2016, il participe à l'ouvrage collectif Adam, la nature humaine, avant et après - Épistémologie
de la Chute sous la direction d'Irène Rosier-Catach et Gianluca Briguglia (Éditions de la Sorbonne).
En 2017, l'ouvrage La vie des plantes reçoit le Prix des Rencontres philosophiques de Monaco et il
est traduit en 10 langues. L'ouvrage est également salué par la presse.
En 2019, il est conseiller scientifique de l'exposition Nous les arbres à la Fondation Cartier pour l'art
contemporai
François Gremaud _ metteur en scène
Après avoir entamé des études à l’Ecole cantonale d’Arts de Lausanne (ECAL) et au Conservatoire d’art dramatique de Lausanne (SPAD), François Gremaud suit à Bruxelles une formation de metteur en scène à l’Institut National Supérieur des Arts du Spectacle (INSAS). En 2005, il fonde la 2b company et présente au Belluard Bollwerk International une version «laboratoire» de My Way, sa première création. En 2006, il propose à Nuithonie une relecture de My Way qui rencontre un important succès critique et public, avec un interprète en langage des signes intégré à la représentation, confirmant son intérêt pour le mélange : des genres, des idées et des publics. La même année, dans le cadre du festival [altitudes], il présente Après nous (le déluge), une pièce qu’il a écrite et mise en scène. En 2009, il met en scène Ma Solange, comment t’écrire mon désastre, Alex Roux de Noëlle Renaude pour la Cie La Mezza Luna, plus de 18 heures de spectacle présentées en 18 épisodes. Il crée Simone, two, three, four avec la 2b company, présenté à l’Espace Nuithonie de Villars-sur-Glâne et au Théâtre 2.21 en avril et mai 2009 (spectacle repris en tournée en 2010 et 2011). Dans le cadre des Urbaines à Lausanne, toujours avec la 2b company, il crée KKQQ, présenté à Sévelin 36 en décembre 2009. En 2010, il co-réalise Laetitia déchaîne les Urbaines avec Laetitia Dosch pour les Urbaines à l’Arsenic à Lausanne en décembre. En 2011, avec Michèle Gurtner et Tiphanie Bovay-Klameth, il créé Récital à l’Arsenic, spectacle repris en mai au Centre Culturel Suisse à Paris, puis au far°/Festival des Arts Vivants de Nyon en août. Il met en scène Yvette Théraulaz dans Comme un vertige à la Comédie de Genève en mars, spectacle repris au Théâtre Kléber Méleau en décembre. Avec Michèle Gurtner et Tiphanie Bovay-Klameth, il créé Présentation en août, proposition spécialement créée pour le far°/Festival des Arts Vivants de Nyon, festival dont il est nommé artiste associé pour les éditions 2011 et 2012. Il co-programme l’édition 2011 des Urbaines à Lausanne. En 2012, il crée Re à l’Espace Nuithonie de Villars-sur-Glâne, au Théâtre de Vidy-Lausanne dans le cadre de la saison STF de l’Arsenic, au Théâtre du Loup et au far°/Festival des Arts Vivants de Nyon.
En 2014, au Festival d’Automne de Paris, il joue sous la direction de la compagnie française GRAND MAGASIN dans Inventer de nouvelles erreurs.
En 2014 et 2015, avec le collectif SCHICK/GREMAUD/PAVILLON, il présente X MINUTES, un projet évolutif inédit : le spectacle, d’une durée initiale de 0 minute, s’augmente de 5 nouvelles minutes - jouées dans la langue du pays d’accueil - à chaque fois qu’il est présenté dans un nouveau lieu. Le projet a déjà été présenté à Bruxelles, Rovinj (Croatie), Bordeaux, Lausanne et Helsinki. Il sera prochainement joué à Berne, avant Bordeaux (une seconde fois) et Paris.
En 2014, au Festival d’Automne de Paris, il joue sous la direction de la compagnie française GRAND MAGASIN dans Inventer de nouvelles erreurs.
En 2014 et 2015, avec le collectif SCHICK/GREMAUD/PAVILLON, il présente X MINUTES, un projet évolutif inédit : le spectacle, d’une durée initiale de 0 minute, s’augmente de 5 nouvelles minutes - jouées dans la langue du pays d’accueil - à chaque fois qu’il est présenté dans un nouveau lieu. Le projet a déjà été présenté à Bruxelles, Rovinj (Croatie), Bordeaux, Lausanne et Helsinki. Il sera prochainement joué à Berne, avant Bordeaux (une seconde fois) et Paris.
Sarah Kollher _ écopsychologue à L'Université de Lausanne
Sarah Koller a suivi des études de Psychologie et en Sciences de l’environnement à Lausanne et à Montréal. Elle est actuellement en doctorat à la faculté des géosciences et de l’environnement à l’Université de Lausanne. Son travail de recherche porte sur les ressorts des paradigmes de croissance économique et suffisance.
En parallèle de cet activité, elle mène des ateliers en écopsychologie. Née aux États-Unis dans les années 1960-1970 en réaction aux dégradations environnementales, l’écopsychologie part d’un double constat : la psychologie de l’être humain ne peut se concevoir sans prendre en compte ses relations à la biosphère, et les problèmes écologiques ne peuvent s’appréhender sans prendre en compte les ressorts complexes de la psychologie humaine. L’écopsychologie se constitue ainsi comme un appel au dialogue entre ces deux disciplines que sont la psychologie et l’écologie, dialogue qu’on pense à même de jouer un rôle significatif dans les réponses apportées aux dégradations écologiques. Un des enjeux de l’écopsychologie est ainsi de restaurer notre lien à la nature, dégradé ou brisé par la modernité occidentale. La restauration de ce lien favoriserait le développement d’une société qui soutient la vie, en harmonie avec son environnement naturel.
Elle suit des cours d’improvisation théâtrale, pratique la composition musicale en amateure et a participé à la création de plusieurs spectacles.
Patrick Laffont _ plasticien
diplômé de l’École Supérieure d'art et de design de Marseille, créateur et «montreur» d’images. Il conçoit des installations photo et vidéo in situ qui investissent l’espace contextuel et l’intègrent totalement dans l’acte artistique.
Il s’empare du réel et de son surgissement comme matière - et source d’inspiration. Ainsi en témoignent ses installations Fake #2 et Chien, où un plan de départ - sur un visage, une personne, un paysage... - par sa persistance, s’impose, se surimpose et crée une forme visuelle onirique.
Dans son travail pour les arts vivants, il conçoit l’image non comme décorum mais comme élément de narration à part entière. Au théâtre, il élabore entre autres les créations vidéo des spectacles d’Hubert Colas depuis 2004 , Cyril Teste - collectif MXM - depuis 2004, Jean-Louis Benoît en 2008. Il collabore également avec Yves-Noel Genod ou encore Nathalie Negro ou Frédéric Nevchehirlian. Au sein du collectif de danse Skalen, il conçoit les dispositifs vidéo et scénographiques des spectacles Xenit, I Next, Bruit, Contexte, Précipités, Fragment #1.
Concepteur de dispositifs mettant à partie l’outil numérique et technologique, Patrick Laffont prend possession du temps et de l’espace sensible comme d’une matière malléable, à dilater ou contraindre, voire à multiplier. En témoigne sa collaboration avec Jurgen Ostarhild au projet morphingstudio, réalisation multimédia en temps réel.
Il a également écrit dans les revues IF et Action poétique.
Nadia Lauro _ scénographe
Elle développe son travail dans divers contextes (espaces scéniques, architecture du paysage, musées). Elle conçoit des dispositifs scénographiques, des environnements, des installations visuelles. Ses espaces au fort pouvoir dramaturgique génèrent des manières de voir et d’être ensemble inédites.
Elle collabore avec les chorégraphes et performeurs Vera Mantero, Benoît Lachambre, Frans Poesltra, Barbara Kraus, Emmanuelle Huynh, Fanny de Chaillé, Alain buffard, Antonija Livingstone, Latifa Laâbissi, Jonathan Capdevielle , Laetitia Dosch et Jennifer Lacey, avec laquelle elle co-signe de nombreux projets. Leur collaboration fait l’objet d’une publication « Jennifer Lacey & Nadia Lauro, dispositifs chorégraphiques » par Alexandra Baudelot publiée aux Presses du Réel.
Elle reçoit le prix The Bessies, New York Dance and Performance Awards pour la conception visuelle de $Shot (Lacey / Lauro / Parkins / Cornell).
Elle fonde avec l’architecte Laurence Crémel, l’association Squash Cake Bureau où elle crée des aménagements paysagers et du mobilier urbain.
Elle scénographie également des concerts dont Transhumance /Cocorosie/ Nadia Lauro/Gaspard Yurkévitch et des expositions, récemment Sunra, The Cosmo Man, Nottingham Contemporary.
Elle conçoit une série d’installations/performances Tu montes, As Atletas, et I hear voices, des environnements scénarisés développés dans divers lieux (musées, foyers de théâtre, galeries, jardins) en Europe, au Japon et en Corée.
Elle présente La Clairière (Fanny de Chaillé/Nadia Lauro), un environnement visuel immersif pour entendre au Centre Pompidou, 4ème édition du Nouveau festival /« Khhhhhhh » Langues imaginaires et inventées et collabore depuis 2014 comme artiste associée au festival Extension Sauvage (Latifa Laâbissi / Figure Project).
Yuval Rozman _ metteur en scène
Après des études au Conservatoire National d’Art Dramatique de Tel-Aviv, Yuval Rozman (1984),crée l’ensemble Voltaire en 2010 et développe ses propres travaux comme auteur-metteur en scène et comédien. Son spectacle Cabaret Voltaire, avec l’acteur palestinien Mohammad Bakri, reçoit les félicitations du jury et le 1er prix du C.A.T International Theatre Festival d'Israël : meilleure pièce, meilleure mise en scène, meilleure musique originale et meilleure chorégraphie. Au festival actOral - Marseille, il présente deux mise en espaces Jecroisenunseuldieu de S. Massini en 2013 puis Sight is the Sense
de Tim Etchells avec Laetitia Dosch en 2014. Cette même année, il assiste à la mise en scène Hubert Colas sur Nécessaire et Urgent d’Annie Zadek. Il collabore avec Laetitia Dosch pour l’écriture et la mise en scène d’Un Album. Il joue dans La Mégère apprivoisée, de Shakespeare, mis en scène par Mélanie Leray ; Face au mur de Martin Crimp 2016, et Une mouette et autres cas d’espèce 2017, tous deux mis en scène par Hubert Colas. En tant qu’auteur, il écrit Sous un ciel bleu et des
nuages blancs, Cabaret Voltaire, TBM - Tunnel Boring Machine, Sécurité et The Jewish Hour. TBM - Tunnel Boring Machine a été créée dans le cadre du festival Next, et a été présentée entre autre à Valenciennes, Tournai, à Artdanthé, au TANDEM et au Festival Latitudes Contemporaines. En 2018, il a collaboré également avec Laetitia Dosch à l’écriture et la co-mise en scène de la pièce
HATE, créé au Théâtre Vidy-Lausanne. Sa dernière pièce The Jewish Hour est créée en mars 2020 lors du Cabaret des curiosités au Phénix, scène nationale de Valenciennes.
Au cinéma il a travaillé avec Lorraine Lévy pour Le Fils de l’autre, Eytan Fox pour Cupcakes, Amir Manor pour Épilogue, Danny zur pour Who Comes to Daddy, Ariel Templer pour Sous d’autres cieux. À la télévision, il a joué le rôle principal dans Itamar et moi, série dramatique réalisée par Ore Yaniv.
Actuellement, Yuval Rozman travaille sur l'écriture de sa prochaine pièce Adesh qui sera le dernier volet de la Trilogie de Ma terre après les pièces TBM et The Jewish Hour. Adesh a reçu le soutien de l'Institut Français dans le cadre d'une « Résidence Sur Mesure » pour une recherche en Cisjordanie prévue en novembre / décembre 2020.
de Tim Etchells avec Laetitia Dosch en 2014. Cette même année, il assiste à la mise en scène Hubert Colas sur Nécessaire et Urgent d’Annie Zadek. Il collabore avec Laetitia Dosch pour l’écriture et la mise en scène d’Un Album. Il joue dans La Mégère apprivoisée, de Shakespeare, mis en scène par Mélanie Leray ; Face au mur de Martin Crimp 2016, et Une mouette et autres cas d’espèce 2017, tous deux mis en scène par Hubert Colas. En tant qu’auteur, il écrit Sous un ciel bleu et des
nuages blancs, Cabaret Voltaire, TBM - Tunnel Boring Machine, Sécurité et The Jewish Hour. TBM - Tunnel Boring Machine a été créée dans le cadre du festival Next, et a été présentée entre autre à Valenciennes, Tournai, à Artdanthé, au TANDEM et au Festival Latitudes Contemporaines. En 2018, il a collaboré également avec Laetitia Dosch à l’écriture et la co-mise en scène de la pièce
HATE, créé au Théâtre Vidy-Lausanne. Sa dernière pièce The Jewish Hour est créée en mars 2020 lors du Cabaret des curiosités au Phénix, scène nationale de Valenciennes.
Au cinéma il a travaillé avec Lorraine Lévy pour Le Fils de l’autre, Eytan Fox pour Cupcakes, Amir Manor pour Épilogue, Danny zur pour Who Comes to Daddy, Ariel Templer pour Sous d’autres cieux. À la télévision, il a joué le rôle principal dans Itamar et moi, série dramatique réalisée par Ore Yaniv.
Actuellement, Yuval Rozman travaille sur l'écriture de sa prochaine pièce Adesh qui sera le dernier volet de la Trilogie de Ma terre après les pièces TBM et The Jewish Hour. Adesh a reçu le soutien de l'Institut Français dans le cadre d'une « Résidence Sur Mesure » pour une recherche en Cisjordanie prévue en novembre / décembre 2020.
Après sport-étude gymnastique (espoir Jeux Olympiques 1984), une prépa à Normale Sup, un mémoire sous la direction de Florence Dupont et un premier prix au Conservatoire National d’Art Dramatique de Nancy, Anne Steffens travaille notamment avec Françoise Bette, Théo Hakola, Evguéni Grichkovets, André Markowicz et Dorian Rossel. En 2009, l’écrivain Chloé Delaume écrit pour elle Eden matin midi et soir, un monologue qu’elle interprète à la Ménagerie de verre, dans le cadre du Festival Etrange Cargo. Au cinéma, elle tourne sous la direction de Cédric Klapisch (Les Poupées russes), de Guillaume Brac (Une aventure de Valentine), de Juliette Bineau (Robocop memory room) et de Benoît Forgeard (La course nue, Respect et bien sûr Réussir sa vie). Elle participe au concours danses élargies au Théâtre de la Ville dans un projet de Chloé Fabre.
Judith Zagury _ coach équestre
Après avoir suivi les cours de l'école de théâtre Diggelmann, elle se forme notamment lors de stages professionnels organisés par le Théâtre Vidy-Lausanne, auprès de metteurs en scène tels que Joël Jouanneau ou André Engel. Elle travaille également avec plusieurs grands noms du théâtre ou de l'écran (Roland Amstutz, Gérard Desarthe, André Wilms, Emmanuelle Béart, Luc Bondy, Robert Enrico). En tant que cavalière, elle se forme en art équestre auprès de Michel Henriquet, ainsi qu’en éthologie équine au Haras national suisse et à l’université de Rennes. En 2002, elle fonde avec Shantih Breikers l'Ecole-Atelier ShanJu, baptisée ainsi en écho à leurs deux prénoms. Co-directeurs de l'école, ils se consacrent également à l'enseignement et à la mise en scène.
En 2014, elle obtient son Certificate of advanced studies (CAS) en Dramaturgie et performance du texte à l’Université de Lausanne. Son sujet de mémoire est alors en lien avec l’éthique animale, et elle dirige actuellement un travail de recherche sous forme d’atelier théâtral sur le rapport que l’homme entretient avec l’animal. Une thématique qui devient la spécialité de la Compagnie ShanJu lorsque celle-ci crée Kikkuli (2011), puis Paradoxes et Présences (2016). En 2017, la Compagnie investit à deux reprises le Théâtre Vidy-Lausanne avec ses animaux – lors du week-end Etre bête(s) en avril et à l’occasion des 70 ans d’Hermès Suisse en octobre.
http://www.shanju.ch
Après avoir suivi les cours de l'école de théâtre Diggelmann, elle se forme notamment lors de stages professionnels organisés par le Théâtre Vidy-Lausanne, auprès de metteurs en scène tels que Joël Jouanneau ou André Engel. Elle travaille également avec plusieurs grands noms du théâtre ou de l'écran (Roland Amstutz, Gérard Desarthe, André Wilms, Emmanuelle Béart, Luc Bondy, Robert Enrico). En tant que cavalière, elle se forme en art équestre auprès de Michel Henriquet, ainsi qu’en éthologie équine au Haras national suisse et à l’université de Rennes. En 2002, elle fonde avec Shantih Breikers l'Ecole-Atelier ShanJu, baptisée ainsi en écho à leurs deux prénoms. Co-directeurs de l'école, ils se consacrent également à l'enseignement et à la mise en scène.
En 2014, elle obtient son Certificate of advanced studies (CAS) en Dramaturgie et performance du texte à l’Université de Lausanne. Son sujet de mémoire est alors en lien avec l’éthique animale, et elle dirige actuellement un travail de recherche sous forme d’atelier théâtral sur le rapport que l’homme entretient avec l’animal. Une thématique qui devient la spécialité de la Compagnie ShanJu lorsque celle-ci crée Kikkuli (2011), puis Paradoxes et Présences (2016). En 2017, la Compagnie investit à deux reprises le Théâtre Vidy-Lausanne avec ses animaux – lors du week-end Etre bête(s) en avril et à l’occasion des 70 ans d’Hermès Suisse en octobre.
http://www.shanju.ch